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En quête de sens

 

Chapitre un : l'homme à travers son histoire

Chapitre deux : du fait religieux

Chapitre trois : de la science

Chapitre quatre : entre le bien et le mal

Chapitre cinq : dieu

Chapitre six : de la fin de Satan

Chapitre sept : au commencement de la lutte

 

Chapitre un : l'homme à travers son histoire.

Sous chapitre un : de l'homme singe à l'homme moderne.

Sous chapitre deux : l'évolution, tendance positive ou négative ?

Sous chapitre trois : du progrès comme d'une impasse.

Sous chapitre quatre : de la finalité de l'évolution.

 

Chapitre deux : du fait religieux.

Sous chapitre un : les objectifs du religieux.

Sous chapitre deux : l'opposition Dieu/Satan.

Sous chapitre trois : du paradis, pour un monde meilleur.

Sous chapitre quatre : de l'homme religieux aujourd'hui.

 

Chapitre trois : de la science.

Sous chapitre un : la science comme remède.

Sous chapitre deux : le progrès scientifique, moyen ou fin.

Sous chapitre trois : du danger de la science.

Sous chapitre quatre : et pour l'avenir ?

 

Chapitre quatre : entre le bien et le mal.

Sous chapitre un : de la pulsion négative, de la pulsion positive.

Sous chapitre deux : le monde bipolaire de l'esprit.

Sous chapitre trois : le choix du bien.

Sous chapitre quatre : cerner les bases du mal.

 

Chapitre cinq : Dieu.

Sous chapitre un : l'homme à l'image de Dieu.

Sous chapitre deux : Dieu ou l'idéal imaginaire de l'homme.

Sous chapitre trois : l'objectif divin.

Sous chapitre quatre : Dieu, le bien dans le viseur.

 

Chapitre six : de la fin de Satan.

Sous chapitre un : Satan à travers l'histoire, à travers les écritures.

Sous chapitre deux : description scientifique du diable. (L'homme parasité) Sous chapitre trois : le monde animal en comparaison du monde insecte. Sous chapitre quatre : en finir de nos maux.

 

1. Chapitre un : l'homme à travers son histoire.

 

1. Sous chapitre un : de l'homme singe à l'homme moderne.

 

Il y a 65 millions d'années, s'écrasa un météorite qui causa la perte de 60 % des espèces à la surface de la Terre. Ce météorite s'écrasa au Mexique, dans la région du chicxubub YUCATAN. Ceci profita aux mammifères, et permit à l'homme d'être ce qu'il est aujourd'hui. Nous pourrions nous demander quel fut le terme exact de l'impact de ce météorite sur la surface du globe terrestre. Scientifiquement, l'homme eut été un singe qui décida, ou par la force des choses, de se redresser pour finalement avoir la stature qu'il a aujourd'hui. Quel pouvait être le motif, la motivation de l'homme à évoluer jusqu'à se tenir droit et perdre presque totalement sa pilosité. L'évolution a-t-elle un sens ? Comment se fait-il que certains singes restèrent singes alors que d'autres devinrent hommes. Ce fameux météorite n'a-t-il donc aucun rapport entre la destinée de ces singes redressés et l'histoire de la planète ? L'homme moderne n'est-il pas à 10000 lieux de ses racines. Le retour récent vers l'écologique, cet attrait pour l'aliment bio, n'est-ce pas que fumisterie ? L'homme, cet animal moderne, n'est que très peu naturel. Comment une telle distance, un tel écart, eût-il été creusé entre l'homme des origines et celui d'aujourd'hui.

 

2. Sous chapitre deux : l'évolution, tendance positive ou négative ?

 

À travers l'histoire de l’homme, difficile de prétendre à une évolution totalement positive ou l’inverse. Cependant force est de constater que l'histoire de l'humanité, même si elle va dans un sens, n'a pas été faite que de hauts, voire a été faite d'éléments d'histoire à la limite de la catastrophe. Surtout dans l'histoire moderne. Quel intérêt réel a l'homme de rendre son habitacle naturel, c'est-à-dire la terre, inhabitable ? Pour beaucoup le nerf de la guerre c'est l'argent. Économie ne rime pas avec humanité. Au contraire, l'économie déshumanise l’humanité. L'argent dans notre monde est une fin mais l'argent n'a jamais nourri, en tous cas manger du métal est indigeste. N'avez-vous jamais essayé ? Le progrès devrait servir l'homme, mais n'avez-vous pas remarqué que la finalité du progrès dépasse presque toujours l'intérêt du bien-être immédiat. D'où nous vient cette idée de devoir progresser, se surpasser en permanence ? Et dans quel but ? Sommes-nous plus heureux maintenant qu'il il y a 50 000 ans ? La question soulevée ici, pourquoi tant d'efforts si au final l'homme est malheureux ? L'évolution ne nous amène peut-être pas à nous sentir mieux... Pourtant le confort du progrès ne doit pas être négligé. Mais l'interrogation porte sur la partpositive de l'évolution. L'homme fonce sans réfléchir aux conséquences d'une telle attitude.Je me permettrai presque de décrire cette pulsion de l'évolution comme pathologique.

 

3. Sous chapitre trois : du progrès comme d'une impasse.

 

Tout le progrès du monde ne changera pas quelques points fondamentaux : l'homme vit, mange, respire, se reproduit, etc... Et cela depuis des temps immémoriaux. À bien réfléchir, le progrès n'a fondamentalement pas apporté grand-chose. L'homme va, au final, plus vite nulle part. Qu'est-ce qui pousse à cette folie des grandeurs ? Qu’a-t-on a gagné réellement à cette course effrénée vers un hypothétique lendemain meilleur. Cette course au but flou dure depuis toujours. Quand le train va-t-il s'arrêter ? Si seulement le progrès avait une destination intelligible, a portée de cerveau humain. Comment est-il possible que l'homme ne se soit jamais interrogé sur la portée de cette course sans fin. Aujourd'hui l'homme peut produire des tonnes de blé, de riz, de céréales, de viande, de matières consommables en tout genre pourtant des humains meurent de faim. Grâce à Dieu, la crise économique actuelle a remis en cause la conquête fondamentalement dénuée de sens de l'espace. Des milliards et des milliards de dollars étaient consacrés à cet effet. Sous quel prétexte la terre ne suffit-t-elle pas au confort de l'homme. En réfléchissant bien, qui peut nier que ce qui prime, c'est avant tout de vivre en communauté avec des conditions de vie acceptables. L'histoire nous a prouvé maintes et maintes fois que le progrès a une finalité qui dépasse l'entendement humain. Même ceux qui nous dirigent ne savent pas toujours où nous allons. Ce qui pose la question d'une intelligence terrestre qui surpasse l'intelligence humaine.

 

4. Sous chapitre quatre : de la finalité de l'évolution.

 

Au final, l'homme progresse sur un chemin dont les aboutissants lui échappent. Il s'interroge, pourtant rien ne laisse présager de l'horizon de son évolution à plus ou moins long terme. On trouvera toujours un sens à chaque progrès mais la finalité du progrès général dépasse l'entendement. Un principe, dont la science n'a pas mis à jour l'existence, existe. Ce principe, dont nous reparlerons plus tard, mène l'homme à sa perte, faisant peu de cas de l'être humain. La finalité de l'évolution nous échappe parce qu’elle se passerait presque de l'homme dans ses calculs. Il faut faire de chaque progrès, un pas de plus de l'homme vers un monde meilleur. Le monde est tel qu'il est, faisons tout pour l'améliorer dans le bon sens. Essayons de ne pas passer à côté des réels objectifs que l'homme doit se fixer. Courir, pourquoi pas, mais seulement pour atteindre ces objectifs, sans mettre de côté le non-sens d'une course à pure perte. C'est-à-dire, croyez-vous vraiment que l'homme est prédestiné à aller vers nulle part ? En tout cas, peut-être que l'homme tel qu'il est, est prédestiné à cela.

 

2. Chapitre deux : du fait religieux.

 

1. Sous chapitre un : les objectifs du religieux.

 

Le religieux dans l'histoire de l'humanité a toujours permis à l'homme de se dissocier de lui-même. C'est par le fait religieux que l'homme a pu augmenter sa vision de la vie. Les rites, les rituels, les pratiques diverses et variées, ont permis à l'homme dans les différentes religions de grandir intérieurement. Il est remarquable de voir combien le religieux a apporté aux communautés. Les religions ont apporté querelles et guerres, paix et progrès. L'homme depuis des temps ancestraux a toujours eu besoin d'avoir une philosophie, des théories communes lui permettant de se regrouper, de vivre en communauté. Le religieux dans la vie de l'homme était là pour rendre la vie plus facile, plus supportable, moins éprouvante. Il y a une cohérence inconsciente du fait religieux chez l'être humain. On retrouve différentes évolutions du religieux dans différentes parties du monde quasiment au même instant dans un registre équivalent. Par exemple le monothéisme. Toutes les religions se retrouvent sur un point, elles promettent ou en tout cas mettent dans la balance la promesse d'un monde bon, ce fameux paradis. Qui se dit religieux espère le paradis. Se sentir mieux, vivre en harmonie, être en harmonie avec les personnes, la nature, le monde qui nous entoure. On retrouve une bipolarité dans les objectifs du religieux. Chaque bien à son lot de mal, chaque mal à son lot de bien. Dans le mal on retrouve le bien, dans le bien se retrouve le mal. Les religions ont une part très importante dans les mœurs humaines. Chaque religion se veut être la meilleure, chaque religion prétend détenir la solution, chacune à ses limites.

 

2. Sous chapitre deux : l'opposition Dieu/Satan.

 

Dieu, tout d'abord est une notion aux 1000 définitions, ce n'est pas peu dire, presque chaque humain conceptualise Dieu de son point de vue. On peut tout de même dire que dans l'absolu Dieu est le bien. Dans l'histoire récente du fait religieux Dieu est un, une seule et même personne, un seul et même être. Satan serait par opposition le mal, voire l'incarnation du mal. L'homme serait sans cesse tiraillé entre Dieu et Satan. Il est dit qu'ici-bas, même si Dieu est le créateur, Satan dirige les affaires humaines. Ceci est très intéressant, nous verrons plus loin comment ramener cela a un fait scientifique. Satan, dénommé diable, vilain, seitan, a tenu une place prépondérante dans l'imaginaire philosophique des hommes. Ceci est remarquable et n'est certainement pas dénué de fondements ni de véracité... Satan peut-il égaler Dieu ? D'un point de vue extérieur on peut rapprocher Satan de Dieu, ces deux entités sont semblables par leur puissance ainsi que par leur culte. Cependant, l'homme n'a de cesse de vouloir échapper à l'emprise du démon pour se rapprocher du divin. L'homme a toujours cherché à être proche de Dieu en fuyant le mal, tout ce qui se rapproche de près ou de loin au diable. La science moderne, du fait de la non preuve de Dieu ou du Seitan, passe à la trappe ces conceptions du fait religieux. On peut se demander s'il ne devrait pas y avoir réexamen de notion fondamentale telle Dieu, Satan, le péché, le paradis, etc. L’être humain, au fil des siècles, des millénaires, aurait-il déraisonné au point de conceptualiser des idées fausses. Remettre en cause l'ordre des choses telles qu'il est établi par le fait religieux relève d'une aberration. Comment peut-on douter de concepts usés au fil de milliers d'années. Manque de preuves ne signifie pas inexistence. Satan, nous le développerons plus tard, a une existence concrète et ancrée dans le réel, dans notre réalité. Dieu reste une notion plus abstraite qui pourrait être expliquée en image absolue du meilleur de l'être humain. L'être humain lors de son évolution n'a jamais lâché l’aspiration à être le mieux qu'il puisse. Ce qui, concrètement, l'a amené à une projection de ce qu'il il y a de meilleur en lui : Dieu. D'après les écritures saintes, l'homme est à l'image de Dieu. Dieu a créé l'homme à son image, l'homme le plus brave sera comme dieu. Satan intervient un peu après le début de la création, il n'appartient pas aux origines de notre monde. Connaissez-vous la genèse dans les écritures saintes ? Celle-ci est en fait l'histoire transmise au fil des millénaires de bouche à oreille, de génération en génération, de père en fils, de mère à enfant. Cette histoire contée le soir autour du feu fut un jour mise par écrit. On peut retrouver dans cet événement à la fois du positif et du négatif. La genèse disparait de la tradition orale pour être figée sur du papier. À la fois plus et moins transmise, on peut s'interroger sur le but d'une telle opération. Perdre le fil de l'histoire, ou au contraire ne pas le perdre ? Certainement que ce fut dans un souci de ne surtout pas le perdre. D'après les écritures, d'après la théologie, le diable ne veut pas de bien à l’homme. Contrairement au Très Haut, Dieu, qui souhaite le meilleur.

 

3. Sous chapitre trois : du paradis, pour un monde meilleur.

 

Qui n'a pas souhaité un jour vivre au paradis ? Cela paraît à la fois si accessible et si inaccessible. Le paradis, sommairement, est un endroit où il y a de la nature, des arbres fruitiers, des animaux en communion, un endroit où règne la paix et où les hommes sont en harmonie. À l'heure d'aujourd'hui, où les distances sont amoindries, à l'heure de la télécommunication, à l'heure où le monde est un village, comment ne pourrait-on pas envisager des réformes pour un monde plus juste, dans lequel il fait bon vivre. Les religions, malgré leur défaillance, n'avait comme objectif seulement ce fameux paradis. La réalisation de cet objectif ne fut qu'un problème de méthode, et de finalisation théorique. Le vilain étant toujours inaccessible, et donc la résolution des conflits sur cette terre étant insolvable. Chaque enfant qui sommeille en vous possède le désir du paradis, n'ayez pas peur d'écouter cette petite voix qui vous dit : la paix. Mon récit est très éloigné du discours magique, merveilleux, que pourrait être celui par exemple d'un témoin de Jéhovah. Rien ne se fera sans vous, ni miraculeusement. Cependant certains facteurs contrôlés pourraient permettre de réunir les conditions favorables à une vie meilleure ici-bas. Tout est possible vu la conjoncture de la planète. Je dirais même toutes les conditions sont réunies pour réaliser les écrits prophétiques des écritures. Ne nous trompons pas d'ennemis, ne jetons pas la première pierre, ne tapons pas sur l'innocent. Tout est question de compréhension, votre esprit vous égare, en avez-vous conscience ? Nous reparlerons de ce problème un peu plus loin. Le paradis reste très accessible, et c'est pour cela que nous débattons ici.

 

4. Sous chapitre quatre : de l'homme religieux, aujourd'hui.

 

Qu'est-ce qu'un homme religieux à l'heure actuelle ? Les religions nous ont montré leurs limites. Même la meilleure des religions ne délivre pas la clé du bonheur. Ce qui ne remet en cause les bonnes volontés présentes dans chaque religion et même partout dans le monde. Pas besoin d'appartenir à une religion, pour être religieux. Les notions d'amour, de paix, d'harmonie, de nature, sont universelles. La projection de Dieu et du diable sont nécessaires à une prise de conscience bipolaire de ce monde, les taoïstes nous parlent du Yin et du yang dans chaque chose, chaque unité, chaque être. La science n'est pas incompatible au fait religieux, et même on peut considérer qu'elle lui est complémentaire. On peut simplement s'interroger sur le but ultime de la science, si tant est qu'elle en ait un. L'homme religieux aujourd'hui, veut faire le bien autour de lui et veut se sentir bien à l'intérieur de lui-même. C'est un homme curieux, au fait de ce qui se dit, prêt à tout pour être au mieux. Être religieux aujourd'hui, c'est simplement se poser les bonnes questions, et tenter de répondre. C'est également ne pas se contenter d'une conception prémâchée de ce qui l'entoure, c'est être actif dans l'intelligibilité de ce qui l'environne.

 

3. Chapitre trois : de la science.

 

1. Sous chapitre un : la science comme remède.

 

La science ne nous a-t-elle pas prouvé, ces derniers siècles, qu'elle fût incontournable. Comment se passer du druide un peu fou qui nous donne remède au mal dont nous souffrons ? Les découvertes scientifiques ont permis des progrès très importants dans le soin de la douleur et dans la résolution de beaucoup de maladies. On peut regretter que les soins ne soient pas universels. La science, tout comme les religions, nous a montré ses limites. On ne vit pas éternellement grâce à la médecine. Cependant, le progrès désintéressé scientifique, a permis à l'homme d'aller beaucoup plus loin qu'il pouvait imaginer. Aujourd'hui les distances sont extrêmement réduites, le monde si vaste n'est pas plus grand qu'un village. La part de progrès de la science n'est pas négligeable. On peut espérer être en bonne santé jusqu'à un âge convenable. Et on peut considérer les progrès comme des acquis fondamentaux tant au niveau de la santé, qu'au niveau de beaucoup d'avancée scientifique nous ayant donné un confort réel.

 

2. Sous chapitre deux : le progrès scientifique, moyen ou fin.

 

Le progrès scientifique, en tant que moyen pour mieux vivre, est loin d'être un fléau. Cependant, trop souvent, on utilise les progrès scientifiques en tant que fin, et par là même les instances gouvernantes mettent tout en œuvre pour que la science se suffise à elle-même, et ne soit pas là pour servir le mieux-être collectif. On vise la connaissance en tant que tel, en tant que finalité, et non pas comme moyen d'apporter un mieux-être collectif. On peut s'interroger sur la finalité du progrès scientifique, considérant l'aboutissement du progrès ces derniers siècles. N'y a-t-il pas une intelligence profitant, ou visant à utiliser ce progrès à des fins autres que celles d'une amélioration de la vie sur Terre.

 

3. Sous chapitre trois : du danger de la science.

 

La science est potentiellement très dangereuse, elle nous l'a prouvé par le passé, espérons que ceci ne restera qu'un avertissement sans conséquences plus grave. Le danger de la science c'est que potentiellement rien n’est plus dévastateur qu'une opération sur le plan physique, sur la matière, résultant d'une avancée scientifique. L'homme est très certainement trop peu fiable pour que de tels moyens lui soient dévoyés.

 

4. Sous chapitre quatre : et pour l'avenir ?

 

L'avenir sera scientifique ou ne sera pas. Reste à poser les termes de cet avenir scientifique. Peut-être peut-on supposer que l'homme saura faire bon usage du progrès en tant que tel, ramenant chaque avancée à sa concrétisation matérielle profitant aux citoyens. Reste à espérer la métamorphose de l'homme, devenant bon...

 

4. Chapitre quatre : entre le bien et le mal.

 

1. Sous chapitre un : de la pulsion négative, de pulsion positive.

 

En chaque âme, en chaque esprit, l'action se situe entre deux pôles tantôt négatifs tantôt positifs. Il faut bien comprendre cela. Répondre à une pulsion négative équivaut à servir une partie de soi-même qui en vérité ne nous appartient pas. Cela est assez résumé mais explique assez bien le phénomène. C'est-à-dire qu'il faut avant tout écouter ce qu'il y a de positif en nous, c'est le meilleur moyen de ne pas se nuire. Une partie inconsciente de nous-mêmes nous pousse à mal agir, cette pulsion négative malgré qu'elle ne nous appartienne pas, fait entièrement partie de nous. Pouvez-vous ressentir cette dualité qui vous caractérise ? La meilleure manière d'agir serait de répondre le plus possible aux pulsions positives ce qui favoriserait une bonne énergie et repousserait cette partie inconsciente négative. Nous reparlerons plus loin de cette dualité négative/positive.

 

2. Sous chapitre deux : le monde bipolaire de l'esprit.

 

L'esprit est à la fois conscient et inconscient. Inconsciemment deux pôles nous caractérisent. La conscience est le théâtre de cette bipolarité inconsciente. De manière brève, l'un des deux pôles est négatif, l'autre est positif. L'un veut du bien, l'autre veut du mal. L'homme, sa conscience, navigue constamment entre ces deux pôles. Nous expliquerons plus en détail, plus en avant. Essayez de prendre conscience de cette bipolarité. Vous devriez, à force, constater que votre véritable moi existe quelque part en vous. L'être humain navigue entre deux pôles présents en lui. Vous devriez voir dans chacune de vos idées, la bipolarité dont vous êtes à la fois l'acteur et le figurant. Prendre conscience de ce qui me caractérise relève d'une bonne écoute de soi, ainsi que d'un travail sur soi permettant de mettre en exergue la double lecture de ma pensée.

 

3. Sous chapitre trois : le choix du bien.

 

Dans chacune de mes décisions, j'ai le choix entre faire le bien, et faire le mal. Il me faut choisir le bien c'est le seul moyen de préserver mon corps de toutes infections, affections, pouvant me nuire de manière psycho somatique. Mon corps tel qu'il est déterminé sanctionnera toute volonté négative, c'est-à-dire choisissant une pulsion négative, il sera permis à mon esprit, de punir mon corps selon la loi universelle de cause à effet. Choisissant le négatif je romps l'harmonie de mon être, ralentit l'énergie positive circulant en moi, pour y greffer des tensions négatives, celle-ci pouvant vite dégénérer en pathologie somatique. Il est très important de saisir l'impact sur moi de ce choix du bien. Parce qu’une instance inconsciente présente en vous, vous sanctionnera immédiatement sur un choix de négativité. Rester dans le positif, permet de cultiver en nous un capital d'énergie positive, nous mettant à l'abri de tensions négatives. Le problème, c'est cette instance inconsciente qui nous est censeur, juge arbitre, et qui ne nous laisse pas droit à l'erreur. Nous développerons un peu plus loin cette instance.

 

4. Sous chapitre quatre : cerner les bases du mal.

 

Vous devriez pouvoir prendre conscience de la scission de votre esprit. Ceci n'est pas clairement évident, mais certaines idées, certaines pulsions, ne vous appartiennent pas en propre. Cela fait partie de vous. Estimez chacune de vos pensées, lesquelles vous appartiennent réellement. Dans toutes ses pensées qui remplissent votre esprit, êtes-vous sûrs d'être à l'origine de ces idées ? Pour schématiser, deux sources inconscientes viennent interférer le cours de votre cogitation. Le tout étant vous, seulement une seule de ces sources vous appartient. Votre vie est votre combat. Afin de prendre le contrôle de vous-même, vous devez rester vigilants, rester positif, rester dans la positivité, et discerner ce qui vous paraît ne pas être de vous en vous. Vous êtes armés de votre conscience, afin de livrer bataille pour reprendre les rennes de votre être. La véritable liberté, ne s'acquiert qu'en livrant ce combat. Ne prenez pas à la légère ce propos, vous seriez étonnés combien vous vous sentirez mieux une fois au bout de cette lutte. Nous explorerons plus loin comment être aidé de molécules appropriées afin de reprendre le contrôle de votre cerveau. Votre cerveau subit des altérations, par le biais du système nerveux. Ces altérations sont neuro-électriques ainsi que neurochimiques. Une part inconsciente en vous, ne vous appartenant pas, vise le contrôle de vous-même. Ceci étant difficilement conceptualisable, il n'est pas étonnant que vous éprouviez des difficultés à le concevoir. Cependant, cela est la principale source de conflits internes, également de désordre somatique et psychosomatique. La médecine moderne n'a toujours pas cerné cette zone inconsciente puisque le propre de cette partie inconsciente de notre être est de rester indécelable. En nous, réside deux inconscients distincts, l'un nous est propre et l'autre est en nous, seulement nous la subissons, et elle ne nous appartient pas. Pourtant elle dirige la plupart des actes de notre vie quotidienne. Il est capital de bien comprendre ceci, afin d’aspirer à une véritable liberté. Cette partie inconsciente de nous-mêmes ne nous appartenant pas, est à la fois sourde et aveugle, d'une intelligence implacable, et si proche de ce que nous sommes, de ce qui nous caractérise. Je décris ici un problème millénariste dont les générations antérieures ne sont pas venues à bout. Attention, ceci est un problème d'ordre capital, l'enjeu étant votre vie, le risque étant de la perdre.

 

5. Chapitre cinq : Dieu.

 

1. Sous chapitre un : l'homme à l'image de Dieu.

 

D'après les écritures saintes, c'est-à-dire la science de l'homme par l'homme à travers les temps, l’homme a été créé à l'image de Dieu. Dieu, dans l'absolu, est l'homme parfait. L'homme de tout temps a visé à être comme Dieu. Dieu, c'est la vie, c'est à la fois la terre, le soleil, l'univers, notre univers. Dieu est à la fois tout, rien, l'harmonie dans ce monde. L'homme en est venu à penser Dieu par souci de projection positive. Il est clairement évident que le modèle divin reste un modèle sans faille. L'homme étant à l'image de Dieu, quoi de plus normal que de se rapprocher de son modèle. Ceci n'est pas sans cohérence, l'homme se destine par Dieu à être au mieux de ce qu'il peut être par rapport à ce qu'il est. Cette projection, d'importance primordiale, permet une ligne conductrice vers ce à quoi l'homme doit aspirer. Loin d'être sans fondements, ce fut avec Dieu la meilleure façon de guider l'humanité. Dieu, reste dans l'absolu, le leader incontesté du bien. L'homme, appartient à la création, à la terre dont il est issu. L'homme est l'incarnation la plus subtile de l'univers auquel il appartient. L'homme est un condensé de l'harmonie de son univers. En chaque être humain on retrouve l'harmonie de notre univers, chaque humain possède en lui l'univers. On retrouve le soleil, principe masculin, la Lune et la terre, principe féminin, l'immensément petit, ainsi que l'immensément grand dans chaque homme. L'homme est à l'image de la création, de l'univers, de Dieu.

 

2. Sous chapitre deux : Dieu ou l'idéal imaginaire de l'homme.

 

On pourrait faire court, et dire que l'homme s'est imaginé Dieu, qu'il s'est créé un leader qui lui ressemble, qui soit parfait, et qui le tire vers le haut. Cela fut certainement une sorte de réflexe de survie qui lui permettra de vivre dans un épanouissement les difficultés quotidiennes. Ce n'est pas un hasard si Dieu fit son apparition dans la vie des hommes. L'homme en avait besoin, et le concept Dieu relève d'une grande cohérence avec la création. Finalement, on retrouve avec Dieu tout le complexe de vie sur terre. Avoir un dialogue avec quelqu'un ou quelque chose d'extérieur à nous, qu'il soit neutre, et que cette discussion nous amène à trouver les solutions en nous, n'est-ce pas la thérapie par excellence ? La véritable liberté ne pourra se passer de Dieu. Choisir le bien, c'est choisir Dieu. Psychologiquement, l'influence du concept Dieu est très importante. Dieu, c'est le père, mais le père parfait. Dieu, par définition, ne peut décevoir. L'homme qui croit en Dieu, fera tout afin de ne pas décevoir le père. Dieu pris dans sa conception la plus large répond à des lois universelles d'harmonie de la nature, de la création, de notre univers. Une fois la conscience de l'homme arrivé à un stade avancé, dans l'idéal, Dieu répond à toute une série de questionnement dont la science même la plus motivée n'est pas prête d'arriver à bout. S'en remettre à Dieu, c'est se diriger sur le chemin de la véritable liberté. Le cheminement de Dieu en nous, nous amène à un consensus qui s'apparente à une révolution intérieure permettant l'obtention d'une liberté totale, véritable, sans faille. Dans chacune de nos actions, chercher Dieu, c'est chercher le bien, ce qui nous amène à nous éloigner de cette part d'inconscient en nous qui nous pousse à rechercher le mauvais et qui sanctionne nos actions mauvaises malsaines.

 

3. Sous chapitre trois : l'objectif divin.

 

Avoir, dans le viseur de l'esprit, Dieu, signifie aspirer à ce qu'il y a de plus noble en nous. Chaque homme potentiellement est Dieu. Il faut vouloir être Dieu pour véritablement se défaire de ses chaînes. Le meilleur remède à nos maux, c'est Dieu. Chaque être humain devrait avoir pour objectif d'être Dieu. Être Dieu, signifie en avoir fini avec le mal. En avoir fini avec le démon, avec Satan, avec le seitan, avec cette partie de l'inconscient qui nous veut du mal, qui ne nous mène pas vers le bonheur. Viser Dieu, c'est viser le meilleur qu'il il y a en nous. C'est mettre en exergue tout le bon qui nous compose. C'est utiliser au mieux le potentiel de bien qui nous caractérise. Psychologiquement il paraît peu concevable de se libérer réellement de nos maux sans se projeter en Dieu, sans être Dieu.

 

4. Sous chapitre quatre : Dieu, le bien dans le viseur.

 

Nous pourrions simplement dire que viser Dieu, c'est viser le bien. L'homme a fait du mal au nom de Dieu. Mais Dieu ne fait pas le mal. L'homme fait le mal parce qu’inconsciemment il est poussé à le faire. Mais chercher Dieu c'est chercher le bien. Être du camp de Dieu, c'est être du camp du bien. Être du camp du bien, c'est s'éloigner du mal en nous. C'est s'éloigner de cette partie inconsciente de nous qui nous pousse à faire mal, à nous faire du mal, à faire du mal à autrui. Dieu, le bien, est le seul remède à nos maux. Le cheminement est long, parsemé d'embûches, et surtout il n'est pas simple. Mais le jeu en vaut la chandelle. Vous ne pouvez soupçonner combien il est bon d'être libre, sans chaînes, libéré de toute étreinte du mal. Viser Dieu, c'est avoir le bien dans le viseur.

 

6. Chapitre six : de la fin de Satan.

 

1. Sous chapitre un : Satan à travers l'histoire, à travers les écritures.

 

D'après les écritures, à l'origine des temps, Satan n'était pas sur terre. À un moment donné de l'histoire de l'humanité, le diable fit son apparition et pervertit l'homme. En fait, Satan n'appartient pas à ce monde. Cet être vient du ciel. Sa venue se fit par le météorite dont nous parlions au premier chapitre. Le diable fait partie du monde des insectes qui n'ont pas appartenance à notre terre depuis les origines. C'est de fait la reine des insectes, et l'homme sert d'enveloppe corporelle à ce parasite. Notre terre ne produit pas de métaux, qui tout comme les insectes n'ont rien à voir avec l'harmonie de la création de laquelle l'homme est issu. En fait, ce fameux météorite en s'écrasant dissémina des particules de métaux dans l'atmosphère ce qui éradiqua tout être au gabarit imposant. Il s'ensuit une formidable invasion de petits êtres qui contaminaient toute la planète : les insectes. Satan, restant invisible aux yeux des scientifiques, nous parasite depuis des milliers d'années. Les insectes possèdent différents moyens de communication. Les deux principales façons étant chimie et électricité. Le diable, leur reine, présente en chaque homme, est le plus puissant de ces insectes. La difficulté est que ce parasitage est codé sur un certain plan vibratoire. Pour vous donner une idée, la matière inerte est au premier plan vibratoire. L'homme navigue sur 7 plans vibratoires, Satan apparaît au huitième plan vibratoire. Ce huitième plan vibratoire équivaut pour l'homme à une non-existence. Ceci dit, la situation est ainsi depuis des temps immémoriaux. Donc pas de dramatisation à outrance d'un fait vieux de millions d'années.

 

2. Sous chapitre deux : description scientifique du diable. (L'homme parasité)

 

Le diable, est un parasite humain qui s'apparente à la famille des méduses. Sa localisation est au niveau du gros côlon, près du chakra sexuel par le biais duquel il communique, influence notre cerveau. Ce parasite utilise des injections neurochimiques ainsi que des injections neuro-électrique et influence ainsi notre système nerveux ainsi que notre cerveau. Ce parasite, chacun des membres de sa communauté, communiquent entre eux de manière permanente. Chacun faisant parti d'un réseau plus large, qui est composé de tous les parasites. Satan, ce parasite, est à la fois chaque parasite individuel mais également tous les parasites reliés entre eux. Satan, ce parasite, peut être considéré et même est individuellement la reine des insectes. Notre terre subit un conflit entre deux peuplades : d'une part le peuple animal, et d'autre part le peuple des insectes. L'homme est au cœur du conflit puisqu'il héberge la reine des insectes.

 

3. Sous chapitre trois : le monde animal en comparaison du monde insecte.

 

Pour les scientifiques le monde des insectes est plus parfait que le monde des animaux. Seulement la biologie animale est plus complexe, plus détaillée, que celle des insectes. Sans oublier que les animaux sont issus de ce monde contrairement aux insectes. Les insectes ne sont pas doués de la même intelligence que les animaux. D'ailleurs au niveau reproductif les insectes n'ont pas les mœurs animales. On peut se demander la raison de la venue des insectes ici ? Leur monde ne pouvait-t-il pas continuer à les entretenir...

 

4. Sous chapitre quatre : en finir de nos maux.

 

Les maladies, toutes les négativités qui nous entourent nous viennent de Satan. Le diable nous ralenti énergétiquement. Nous, les êtres humains, subissons son influence au jour le jour. Nos maux, nous les devons à Satan. L'homme sans ce parasite est un homme sain, un homme libéré de ses chaînes. Ce parasite, le diable, est cette zone qui inconsciemment nous dévore. Cette zone d'ombre, explique beaucoup de psychopathologies, et de pathologies somatiques. Dans un premier temps il s’agit d’avoir une pratique sexuelle anale régulière afin d’évacuer une « soupe » bordeaux rougeâtre assimilable à des hémorroïdes qui est en fait le milieux dans lequel vit ce parasite, cela équivaut a une sorte de jouissance anale, et son évacuation affaiblit le parasite. Attention ! Il n’est pas possible de rejeter le parasite sans avoir totalement jouit ces saignements du gros colon. Ensuite, la molécule découverte récemment : l'aripiprazole, à de forts dosages, permet de faire un rejet nerveux de ce parasite. Cette molécule, accompagnée d'un vermifuge, permet de rejeter ce parasite, Satan, et ainsi de devenir libre du joug de celui-ci. Récemment, il fut démontré qu’un fort dosage d’antibiotiques accompagné d’une prise buccale d’alcool comestible importante permet également le rejet. Attention, le rejet final ne peut se dissocier de l’évacuation totale de la « soupe » rougeâtre comparable à des jouissances anales de saignements. L’expérience nous montre qu’il faut environ trente ou quarante saignements sous formes de jouissances anales avant d’envisager le rejet final. Le comble est que l'homme finit dévoré par ce parasite au moment de son décès.

 

Grégory sevezen.

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